dimanche 18 décembre 2011

Et j'ai crié, crié-é...

Et il est revenu !

(source)

vendredi 11 novembre 2011

11 novembre and dusts...

Nous avons en permanence deux étudiants, étudiantes bien souvent, anglais, car ils viennent d'une chouette université avec qui nous avons un partenariat.
Ils signent, je pense, pour faire l'accueil "et plus si affinités".

Aujourd'hui 10 novembre, Faye et Sarah m'ont demandé : "Pourquoi les Français ne portent pas un ... (mimes intensifs)... pour le 11 novembre ?"
Les stagiaires et moi, on se comprend souvent à demi-mots.
Parce que bon parfois, l'accent anglais... Même si l'autre jour je complimentais Matthew, londonien, pour son accent français et qu'il me répondait : "Mais tu sais, nous si on prend l'accent anglais, c'est pour faire semblant... Pour faire comme Jane Birkin, tu vois ?"
En revanche, lorsque James, américain, m'a croisée dans les couloirs et m'a demandé : "ça va ça ? Les fruits ?" Il m'a fallu quelques mètres pour comprendre que c'était une tentative de notre prof de français, Vincent, de lui apprendre l'expression "ça va ? La pêche ?"...
Bref, j'avais compris que Sarah et Faye parlaient du machin que l'on pourrait porter à la boutonnière si nous étions vraiment patriotes. Et d'ailleurs, je suis honteuse de dire que je ne savais pas exactement le nom de ce truc. Instinctivement, j'ai dit "coquelicot" (c'est pas la preuve que je..., non ?)(ou est-ce calicot ? bloody hell...)
Il faut reposer le contexte. Ma collègue (nous sommes deux à tenir le poste d'assistante dans la boîte) est malade depuis lundi (donc absente, donc je gère son poste à sa place), j'ai enterré ma tante mardi après-midi, juste deux semaines après avoir pleuré ma grand'mère, je sors de deux heures de facturation concentrées au point que je ne répondais qu'avec un ricanement de politesse à ma DAF, venue facturer avec moi dans mon bureau et qui clairement avait envie de rigoler un peu (moi aussi normalement, mais là blimmey... j'avais du boulot), et juste au retour de ma blessed pause clope Faye et Sarah me choppent avec cette question...
Je leur ai accordé trente secondes de réflexion, parce que je les aime bien et que j'aime l'échange culturel permanent qu'il y a au rez-de-chaussée de cette boîte. Bref, j'ai commencé par vérifier de quoi elles parlaient : "Pour le 11 novembre vous voulez dire ? Pourquoi on ne porte pas de... (gestes) (oui, j'ai peut-être dit 'coquelicots', mais p*** comment ça s'appelle ?) Eh bien je ne sais pas."
Oui, j'ai eu le courage de l'avouer. Mais devant leurs regards désappointés j'ai continué :
"Il est vrai que nous Français n'arborons (elles ne connaissaient pas le mot. J'ai donc fait des gestes. Juste, imaginez-moi 'arborer' un truc) pas facilement des signes de patriotisme. Nous ne portons pas facilement nos couleurs (idem : petit intermède sur ce que ça veut dire "porter des couleurs") et nous ne mettons pas de drapeaux à nos fenêtres. En revanche, certaines mairies organisent des cérémonies aux monuments aux morts (idem, monuments aux morts n'est pas connu en Angleterre..) où on lit les noms des morts et où on chante La Marseillaise (avec les profs de la chorale de son lycée, ma belle-soeur va le faire, après avoir expurgé, non sans mal, notre hymne de tous ses passages trop "glauques" - je cite).
Je continue, pour l'instruction de nos deux jeunes Anglaises, par leur expliquer que bien souvent c'est l'extrême-droite qui arbore ce genre de signe (quoi ? il faut admettre : vous mettriez un drapeau à votre balcon ?). Et je m'enfuis dans mon bureau.
Moi, fermant la porte, à ma DAF assise à la place de ma collègue (malade, la lâcheuse, mais je l'ai déjà dit) :
"Oh la vache ! (tiens une expression bien française qu'il pourrait être interessant d'essayer d'apprendre à James...) Ya Faye et Sarah qui viennent de me poser une question coton : pourquoi les Français portent pas (gestes) pour le 11 novembre ? "
Ma DAF :
"Portent pas quoi ???"
"Ben tu sais... Un truc bleu-blanc-rouge à la boutonnière !"
'Oh !!!!" fit-elle en réalisation de ce qui m'avait été demandé. "Et tu connaissais la réponse à la question ?" (oui, texto : je suis un peu considérée comme l'intello de ma boîte, avec Vincent, le prof de français pré-cité).
Je répète.
Elle fait une moue dubitative.
Et lorsque ma DAF, Hurrican Roll comme je l'appelle affectueusement, fait une moue dubitative, la pièce change d'ambiance.
"Moi j'en vois, pour le 14 juillet, des Français qui agitent des drapeaux."
J'ai pas eu le temps de retourner voir nos charmantes petites Anglaises pour leur faire part de cela, mais ça me tourne un peu dans la tête :
Pour quoi vous pourriez agiter un bleu-blanc-rouge ? Un 11 novembre ? Un 14 juillet ? Qu'ils crèvent ?
D'accord, mais que faire de tous ceux qui sont crevés pendant ces deux périodes (et trop d'autres)? Comment penser un peu à eux... ?
Et que célébrer, en fait ?
Ça veut dire quoi, être patriote ?

mardi 20 septembre 2011

Cache-visage et cache-oreilles sont dans un bateau

Lequel laisseriez-vous tomber à l'eau ?

Le son comme arme

Jeunes, attention ! La manifestation rend sourd !

mardi 19 juillet 2011

Lapsus

A 7 heures ce matin, la journaliste de France Info nous a accueillis par un retentissant : 

"Bonjour et bienvenue sur France Info, il est 8h"

Je connais quelques coeurs (dont le mien) qui ont dû rater quelques battements...

mardi 31 mai 2011

Non, je n'ai pas tapé "Nathan Fillion à poil" dans google

C'est juste que quand James Gunn (le gars qui m'avait traumatisé avec "Troméo et Juliet", réécriture de Shakespeare version punk) me dit :  


J'achète. Surtout quand c'est le Captain Hammer qui manie la naileuse... 

Eloignez les enfants !  


samedi 14 mai 2011

Après Naples, Carcassonne et le nombril de la femme d'un agent de police...

... avoir lu Salammbô, et puis mourir !
Sans déconner. 
J'ai pris une claque magistrale avec ce bouquin. Ah Gustave ! Chapeau bas, cher ami. 

Ce roman se déroule au III° ou II° siècle avant J-C, par là. Il a pour toile de fond lesdites "guerres puniques" (du latin Poeni, nom par lequel les Romains désignaient leurs rivaux). Plus d'un siècle de guerres entre Rome et Carthage, cette dernière résistant tant bien que mal et se relevant à chaque fois, reconstruisant ses forces pour faire à nouveau face à la puissance montante du monde méditerranéen. Mais bon, en 146 avant J-C, Rome écrase Carthage définitivement, brûle et rase la ville.
Flaubert s'est intéressé à la première de ces guerres puniques, et plus exactement la révolte des mercenaires engagés par Carthage et dont la solde n'a jamais été payée. Les Romains apparaissent très peu dans cette histoire. Nous avons d'un côté les Carthaginois, représentés par le général Hamilcar Barca (le papa du futur célèbre Hannibal) et sa fille Salammbô ; et de l'autre les Mercenaires et leur chef, Mâtho, amoureux fou de la belle tunisienne.

Tout est absolument disproportionné dans ce roman, tout déborde, à l'image de la richesse de Carthage, soulignée par tous les historiens. Ça foisonne, ça grouille, ça pullule, il y a des couleurs partout, des odeurs, des myriades de peuples différents. 
La lecture est difficile, le vocabulaire est trop riche lui aussi, un mot sur dix m'échappe. Chaque phrase crée une ambiance différente, amène son cortège de sons et de senteurs. C'est véritablement incroyable, ce livre ne ressemble à rien que j'ai pu lire auparavant. Et plus on avance dans la lecture (je n'ose pas dire l'intrigue, car le mot ne colle pas) plus les passions s'exacerbent et plus on verse dans l'horreur pure.

Enfoncés les films d'horreur, les romans des collections "terreur", les vampires, les zombies et les monstres : prenez Flaubert, prenez la guerre, prenez les êtres humains... Les derniers chapitres sont franchement insoutenables, j'en avais la nausée. On finit par deviner la fin et on se prend à avoir hâte qu'elle arrive, mais l'auteur va jusqu'au bout de notre supplice en faisant de Mâtho le dernier des Mercenaires et en maintenant la tension et l'horreur grandissantes jusqu'à la dernière phrase.
Si j'ai souffert à la lecture, ce n'est rien comparé à ce qu'on imagine des difficultés de l'écriture. Mais quel génie ! quel génie !
Mais comme on sait, et pour raccorder à la référence qui sert de titre à ce post : "sans technique un don n'est rien qu'une sale manie" (Brassens, "Le Mauvais sujet repenti"). On sent le travail. Flaubert a consacré plus de cinq ans à écrire Salammbô et pour rien au monde je n'aurais voulu être à sa place !

« C'est long et l'écriture y devient de plus en plus impossible. Bref, je suis comme un crapaud écrasé par un pavé ; comme un chien étripé par une voiture de m..., comme un morviau sous la botte d'un gendarme, etc. L'art militaire des Anciens m'étourdit, m'emplit ; je vomis des catapultes, j'ai des tollénons dans le cul et je pisse des scorpions. (...) Tu n'imagines pas quel fardeau c'est à porter que toute cette masse de charogneries et d'horreurs ; j'en ai des fatigues réelles dans les muscles. »
A Ernest Feydau. 15 septembre 1861.

Vous pouvez trouver d'autres citations de Flaubert sur son travail, des critiques et le texte de l'oeuvre ici.

L'incipit de ce roman est une phrase magnifique : 
"C'était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d'Hamilcar."
Moi je dis, le type qui écrit une phrase aussi justement dosée, aussi belle et rythmée, et qui sonne si juste, il peut arrêter d'écrire et retourner se coucher.

Bref, Salammbô : oui ! mais pour lecteurs expérimentés, avertis, et au coeur bien accroché.  
 

lundi 25 avril 2011

Clichy - Step One

A J-8 de la Grande Signature, je commence à m'affoler niveau travaux... J'achète une ruine, faut pas trop que je compte m'y installer sans y travailler un minimum avant. 
Alors jeudi dernier, j'ai mobilisé les copains (après une dure sélection, un vrai casting, j'ai retenu que les meilleurs, les costauds les virils !) : 

Il y avait SuperBaba, qui te dépose un évier à main nue et casse le béton avec le pied tout en s'inquiétant des voisins (là c'est ma future chambre) : 
Et l'ami Xuc et sa massette magique qui a démoli le placard dans lequel le plombier va m'installer la salle de bain : 

Et pour finir, ils ont tout descendu aux encombrants et m'ont gracieusement dégagé la grande pièce (future cuisine-salon) qui n'attendait plus que moi : 

Et donc, ce matin j'ai viré le lino pourri. Pense-bête : demander aux anciens proprios la marque de leur colle à lino. Une putain de qualité. A tel point que c'était la couche superficielle de l'agglo en-dessous qui se barrait quand je tirais sur le lino : 


Après j'ai tout mis dans de grands sacs poubelle et j'ai passé un coup de balai, avec une pensée pour l'ami Xuc qui explique à qui veut l'entendre qu'un chantier bien nettoyé est le premier pas vers la paix universelle et l'harmonie entre les hommes. 

Après ma pause clope, j'ai réussi à soulever le pied de biche taxé à l'Oncle (c'est lourd comme un cheval mort, ces trucs-là), pour m'attaquer ensuite à ces plaques d'agglo, clouées sur... sur... 


Omg. OMG. OMG !!
Du parquet !! Quasi neuf ! (enfin, jusqu'à ce que je le nique un peu en soulevant la plaque d'agglo avec le pied de biche. Et pour les petits malins : non, je ne peux pas retirer les clous avant de retirer la plaque d'agglo. Ces bestioles - complètement rouillées, évidement - sont enfoncées plus profond que la tête dans le bois, et bien souvent recouvertes d'une couche de colle. Très bonne colle, voir plus haut)

Je me suis arrêtée là, un type s'énervait sur mon interphone et puis j'avais envie de pisser et puis j'étais crevée, et puis je tremblais des pieds à la tête d'avoir dû utiliser des muscles que j'avais oublié qu'ils existaient. 
J'ai fait le tiers de la pièce. Elle ne perd rien pour attendre. 


Next step : poncer. 
Puis vitrifier. 
Puis tout recouvrir à nouveau pour s'attaquer aux murs.  (je rénove mon appart dans l'ordre que je veux, d'abord !)
Décoller le papier peint. 
Nettoyer le mur tout dégoûtant. 
Y balancer des seaux d'enduit. 
Virer les plinthes. (je ne suis même pas sûre de savoir comment ça s'écrit, alors comment faire pour les virer... J'imagine que je vais utiliser le pied de biche, maintenant que j'en ai un, je vais rentabiliser)
Virer les baguettes de bois, en haut des murs.
Et puis là : je sèche. Je fais quoi du plafond ? Je gratte la peinture (parce qu'il y a des fissures) ? je mets un genre de toile-faux plafond (ce serait la solution la plus facile, mais je ne pense pas être cap' de le faire moi-même). Je vire les espèces de moulures qui arrondissent les angles (idem, ce serait mieux mais je ne vois pas trop comment m'y prendre)? 

Bref, ensuite je peins. 

Ah et avant, il faut que je fasse un mur tout propre dans le fond de la salle de bain pour pas que le plombier s'arrache les cheveux. Ok, il est sympa et je le paye, mais c'est pas une raison. Donc j'imagine que je vais racletter ces prochains jours...

lundi 14 mars 2011

Entendu ce matin à la radio :

"Les Japonais commencent à se demander si c'était une bonne idée de construire des centrales nucléaires en zone sismique"

Maintenant ?! 

samedi 19 février 2011

Qui a dit...

"Tout est plus glamour quand vous le faites sur votre lit. Même peler des pommes de terre."

Je vais bientôt emménager dans un nouvel appart avec une chambre de 180 cm sur 320. Et le lit m'emmerde, il prend toute la place. 
Dans un premier temps, il va bien falloir que je fasse plein de choses sur mon lit (glamour ou pas : finir ma thèse, rédiger notre projet de space-opéra intergalactique, jouer de la guitare...)

Ensuite, il existe bien des solutions...

Le HiddenBed



Et le BedUp, notamment. 



Mais bon, ça coûte des sous tout ça... Je vais d'abord refaire les sols et construire un faux-plafond dans l'entrée pour ranger mon bordel (et pour que le Petit Chat puisse avoir l'impression d'explorer un grenier).

Voilà à quoi on passe son samedi soir au lieu de travailler sur la rédaction de sa première partie. 

Et pour conclure ce post très intéressant, puisque je l'ai ouvert avec une citation fermons-le avec une citation...
Mon père ce midi au resto, quand je lui racontais ma vie : 

"Ta vie est une longue suite de démarches, en ce moment..."

Et encore, je ne me suis toujours pas décidée à passer mon permis.


mercredi 16 février 2011

Tu parles !

Je me souviens cette jeune fille au lycée... 
(pour être plus exacte, je me souviens surtout de ses seins... son visage est plus flou !)
Alors que tout le monde me complimentait sur mes beaux grands yeux bleus, elle avait décrété que si elle devait faire un collage d'elle-même en empruntant des parties du corps à des corps étrangers, c'était ma bouche qu'elle voulait sur son nouveau visage parfait !
Alors un petit quizz...
A qui appartiennent ces bouches ? (niveau facile)




vendredi 11 février 2011

Vouloir se coucher tôt le soir de son anniversaire

En fait, c'est pas possible. 

Je suis fatiguée, vivement ce soir que je dorme...

jeudi 27 janvier 2011

...?

Bon, un peu de légereté ce matin...
J'ai participé, pour la 4e fois, à l'opération Masse Critique de Babelio. Je viens donc d'achever la lecture de Vingt minutes pour la mort.  Robert Brasillach : le procès expédié, publié en 2010 aux Editions du Rocher.
Et maintenant je suis sensée en rédiger une critique. Si je n'étais pas liée par cet engagement moral "un livre, une critique", je crois bien que j'aurais botté en touche.
Philippe Bilger, avocat, se penche sur le procès de Robert Brasillach fusillé pour "intelligence avec l'ennemi" en 1945. L'auteur a une histoire familiale chargée qui le lie directement à son sujet (son père a été condamné pour faits de collaboration) et dont il ne se cache absolument pas (ce qui est à mettre à son crédit). Le livre s'ouvre même sur cette confidence que les sociologues appellent "l'implication du chercheur". 
Ensuite, le livre nous livre quelques éléments sur le parcours de Brasillach, biographie, idées, n'hésitant pas à énoncer clairement l'antisémitisme du personnage, voire de citer quelques unes de ses phrases les plus nauséabondes. C'est sur l'"intelligence avec l'ennemi" que Bilger est plus circonspect. On ne peut le lui reprocher, l'implication qu'il a choisi de nous exposer en ouverture pose d'entrée cet ouvrage dans le registre personnel. 
Les chapitres consacrés au procès sont plus détaillés et plus intéressants : le point de vue d'un homme "de l'art", forcément...
Le livre se conclut sur l'exécution, la fusillade et les derniers mots de Brasillach ainsi que ceux, horribles, d'un petit fonctionnaire bien content d'avoir respecté son timing. 
Alors, que manque-t-il dans tout cela ? 
Une mise en perspective historique. 
Je l'attendais depuis le début, je me disais qu'il fallait forcément qu'elle arrive : comment écrire un livre sur l'exécution de Brasillach sans livrer deux mots sur le contexte ?
Mais elle ne vient pas, et c'est ce qui m'a le plus gênée dans cette lecture et m'a fait hésiter à écrire une chronique sur ce livre dans mon tout petit blog. Je n'ai pas compris par exemple l'insistance de l'auteur sur un "détail" (toutes proportions gardées, on parle tout de même de la vie d'un homme) tel que le fait que le père de Brasillach était "mort pour la Patrie" au cours de la Grande Guerre et que ce fait n'a pas été utilisé au procès. Ou bien lorsqu'il décrit la justice sous Vichy, se défendant d'avoir "l'impudence" de reprocher aux jurés de l'époque de ne pas s'être révoltés contre leur gouvernement, alors qu'au paragraphe suivant, il reproche justement clairement aux tribunaux du Gouvernement populaire d'avoir été aux ordres et d'avoir finalement alignés beaucoup plus de condamnés à mort que sous Pétain. 
C'est compliqué, cette affaire-là. Extrêmement intéressant, mais compliqué. Je lirai volontiers, à l'occasion, d'autres livres, d'autres points de vue sur le procès de Brasillach. La prose de Philippe Bilger est parfaite, c'est un beau français et de belles phrases : digne d'un avocat. Je ne me risquerais pas plus loin dans mon analyse de cet ouvrage, on ne joute pas avec des pros du verbe. 
Le lecteur sera seul juge...

mercredi 12 janvier 2011

Le retour de la pilosité contestataire



Et nous les nanas, on fait comment pour participer ? 
"Pour une Belgique plus belle, ne vous rasez plus les aisselles ?"