mercredi 31 décembre 2008

Dernier jour...

Pour conclure en vrac les trucs commencés...
Tout d'abord, j'ai reçu un super cadeau de Noël de mon big bro' :



Eh oui, car en fait...



Le Bon tire en l'air !

Imaginons par exemple que le Bon, qui tire en premier, vise la Brute et réussisse son coup. En ce cas, c'est au Truand de tirer (puisque la Brute est éliminée de l'équation) et comme il ne rate jamais sa cible, le Bon meurt à coup sûr.
Si pour son premier coup, le Bon vise le Truand et le flingue, la Brute, au lieu de viser le plus dangereux (à savoir le Truand), va se retourner contre le Bon (puisqu'il n'y a plus que lui) et ce dernier sera donc deux fois plus menacé.
Etc, etc. imaginez la suite vous-mêmes.

Oui, je sais, la réponse est comme toutes les énigmes de ce type, à la fois décevante et bien maligne...
J'ai donc le regret de devoir annoncer que celui qui s'est approché le plus de la vérité, donc que l'on peut tenir pour notre gagnant, c'est Xuc, avec son : "
Moi je dis que s'il est pas trop con il se tire pour s'en tirer."
J'ai plus qu'à lui trouver sa citation-cadeau...

D'autre part, je voulais vous avertir de ne pas aller voir le remake "Le Jour où la Terre s'arrêta" qui ne vaut à mon avis que par sa future position de témoin pour les historiens à venir. En effet, dans les années 60, le premier film avait pour argument la menace nucléaire, et aujourd'hui c'est l'écologie qui est au centre de la morale du scénario. A part ça...
J'y suis allée, d'une part parce que j'adore me taper des bouses au cinéma, et aussi parce qu'à force de voir toutes ces affiches dans Paris, je finissais par avoir une certaine chanson dans la tête... Mais si, celle qui commence par : "Mickael Rennie was ill, the day the Earth stood still...".
Donc, j'aurais voulu partir en reportage un vendredi soir au studio Galande et faire un beau compte-rendu, oui mais voilà je ne suis plus à Paris, alors du coup je botte en touche en vous laissant une vidéo so glamour, et je retourne en vacances !




samedi 20 décembre 2008

Bouquineries

Ma bouquinerie préférée a fermé... Mon fournisseur principal, sis à Seix (si si !) en Ariège m'a lâchement laissée tomber. C'était un tout petit local, mais d'une richesse étonnante, comme il sied à toute bonne bouquinerie. Un instant, j'ai pensé arrêter de lire en signe de deuil, et puis finalement je me suis rabattue sur un autre magasin bien moins romantique, dans une autre ville qui porte un nom bien moins rigolo.
Bref, dans les bouquineries, on trouve des livres qui ont appartenu à d'autres et outre les noms inscrits en page 3, les annotations et autres dédicaces, on peut parfois aussi récolter des trésors oubliés entre les pages.



J'avais acheté ce livre, pour son sujet : un ancien de l'OAS raconte sa lutte pour l'Algérie française. Je suis plutôt du genre à fuire les fafs comme les madelinistes (tautologie ?), mais un livre ça ne risque pas de salir les mains et il est toujours intéressant de se plonger dans une réalité complètement différente de la sienne.
Rapide critique pour ceux que ça intéresse : ce texte écrit en prison en 1966 est un genre de recueil de souvenirs. On aurait aimé plus d'organisation, un fil directeur, quelque chose. Si certains moments sont savoureux, des anecdotes étonnantes, et une forte présence des valeurs travailfamillepatries, toute réflexion politique semble exclue, et c'est bien dommage : pourquoi se battre contre l'indépendance de l'Algérie ? Comment juger la position de De Gaulle ? Pourquoi avoir choisi la clandestinité ? etc. J'aurais aimé en savoir plus là-dessus.



Dans les pages, une carte de visite, qui dit :
"Monsieur, Madame Jacques Dat et Annie vous remercient de vos bon voeux et vous adressent à leur tour leurs souhaits bien sincères, pour la nouvelle année.
Nous espérons avoir le plaisir de vous voir dans le courant de l'été 1968 et vous adressons notre souvenir très amical."

Utilisée en marque-page par le lecteur précédent, certainement Monsieur ou Madame Auriac, à qui est dédicacé ce livre, par l'auteur lui-même :
"en souvenir des bonnes et mauvaises heures, avec ma très vive sympathie"

Si ces personnes lisent ce billet, par faveur contactez-moi ! Je brûle de savoir ce que vous avez fait, finalement, en cet été 68...

jeudi 18 décembre 2008

à vendre

La sirène de l'usine de Renault-Billancourt...
Allez, un pronostic : qui va se l'offrir ?
Un ouvrier nostalgique ?... Arf...

lundi 15 décembre 2008

Pour d'la saucisse à l'aligot, j'te défonce ton frigo






Pour écrire aux détenu-e-s vous pouvez envoyer des lettres à l'adresse :

Gabrielle, Manon, Binjamin, Yldun ou Julien
comité de soutien aux inculpés de Tarnac
19170 le bourg
Tarnac
FRANCE

mercredi 10 décembre 2008

La rupture


Modernisons aussi les Droits de l'homme, héritage de Mai 68...

mardi 9 décembre 2008

Avoir un bon copain au-delà du périph'




Et prendre le Petit Chat sous un bras, des idées recettes dans l'autre main, pour nourrir le futur meilleur ouvrier de France...














Robert Plante est toujours là, elle survit vaillamment...










Et si à Logres on est fort en pommes, en France, on est fort en Hôtel de Ville...














Sous la houlette culturelle morveuse des post-popartiens Marx, Lénine et Staline...



On a percé les mystères du Stonenge du coin, érigé vers novembre 2008...



Et grâce à quelques "pas plus haut que le bord", on a enfin trouvé le secret du génie des films de Carpenter : le casting de l'équipe technique basé sur la taille de la moustache !


(Pour le pinard, c'est pas de notre faute ! on avait pas le choix !)


Difficile, avec un argument si tentant, de ne pas avoir envie de revenir très vite...

dimanche 7 décembre 2008

Pédophilie



C'est bien la première fois que ces bons vieux Scorpions choquent quelqu'un, non ?






(je reprends pied à Paris, merci pour vos mails...)